J’aimerais faire bénéficier l’Aisne de la puissance du réseau Apes
Quel est ton pedigree ?
J’ai un parcours assez éclectique. J’ai commencé par une formation d’assistante sociale puis une licence de sociologie. J’ai également fait des études en Chine. J’ai travaillé dans différents milieux, du social à l’entreprise classique en passant par le journalisme...
J’ai bifurqué vers le milieu associatif en soutenant des petits pêcheurs et des artisans dans leur développement en Afrique du Nord et de l’Ouest et en travaillant sur les moyens de soigner le paludisme via une plante nommée Artemisia Annua. J’y ai travaillé à l’époque en coopération avec l’association le Lion Vert, elle même en lien avec le Relais de Soissons.
Je suis revenue en France pour travailler chez BGE Picardie dans l’Aisne où j’ai accompagné des porteurs de projet et acteurs de l’ESS. C’est là que j’ai pris conscience de ce qu’était l’ESS dans toute sa diversité. Depuis, je suis « piquée » à cette forme d’économie. J’ai rencontré Nathalie Bardaille de l’Apes dans le cadre de mon travail.
Quelle est ta mission à l’Apes ?
Chargée de mission territoriale, mon objectif est de développer l’écosystème ESS dans l’Aisne : concrètement, il s’agit d’identifier les besoins, de faire du lien, de favoriser le faire-ensemble et la mise en réseau... Je profiterai de la puissance du réseau de l’Apes et de son large champ de compétences pour outiller les acteurs de l’Aisne, sensibiliser les collectivités et venir en appui aux projets territoriaux.
L’Apes a désormais un bureau à Laon, dans les locaux de BGE Picardie avec qui un partenariat existe depuis plusieurs années.
Que représente l’Apes pour toi ?
Je suis intéressée par l’approche politique et philosophique de l’Apes sur l’ESS. Je me reconnais dans les valeurs prônées par l’association.
