Maï Lohier, salariée de Cliss XXI et administratrice de l'Apes

Publié le : 10 juin 2024 12:18

« C’est important qu’une organisation assez engagée comme Cliss XXI ait aussi sa place à l’Apes. »

Quel est ton pedigree ?

J’ai suivi des études d’histoire-géo à Paris. C’est à cette période que j’ai vu le film « We feed the world » sur les problèmes environnementaux. Cela a favorisé ma prise de conscience et j’ai cherché un emploi qui soit aussi un engagement. Ma route a croisé celle de l’ONG Oxfam. A cette période, elle voulait développer les magasins de seconde main et avait ouvert une bouquinerie à Lille. J’y suis restée neuf ans, et cela a été une belle expérience, j’ai pu travailler avec les bénévoles et les militants, et lancé une campagne de plaidoyer. Cela m’a permis aussi de m’intégrer dans le monde de l’ESS.

En 2023, j’ai rejoint Cliss XXI car la question des logiciels libres m’intéressait. Les associations ne sont pas forcément sensibilisées là-dessus alors que les utiliser devrait être cohérent avec leurs valeurs. Leur projet coopératif me parlait également. Elle a été la première SCIC à se créer en région et elle fonctionne de manière horizontale. J’occupe le poste de commerciale et j’assure les relations avec les usagers et les partenaires. Je représente notre coopérative dans le réseau des SCIC du Pas-de-Calais.

Comment es-tu arrivée à l’Apes ?
Valentin Auzanneau qui allait partir était administrateur de l’Apes pour Cliss XXI, j’ai donc repris ses fonctions.
Je connaissais l’Apes quand je travaillais à Oxfam. Faire partie de cette tête de réseau est pour nous naturel. C’est important que Cliss XXI, qui a une posture assez radicale, y ait sa place aussi.

Qu’est-ce que l’Apes pour toi ?
C’est l’occasion de rencontrer d’autres organisations de l’ESS avec lesquelles on n’est pas forcément en contact, qui œuvrent dans d’autres domaines d’activités.
J’ai participé à différents groupes de travail, comme celui sur l’implication des usagers. Cela permet de sortir du quotidien et de réfléchir à ce qu’on fait

Quel est ton pedigree ?

J’ai suivi des études d’histoire-géo à Paris. C’est à cette période que j’ai vu le film « We feed the world » sur les problèmes environnementaux. Cela a favorisé ma prise de conscience et j’ai cherché un emploi qui soit aussi un engagement. Ma route a croisé celle de l’ONG Oxfam. A cette période, elle voulait développer les magasins de seconde main et avait ouvert une bouquinerie à Lille. J’y suis restée neuf ans, et cela a été une belle expérience, j’ai pu travailler avec les bénévoles et les militants, et lancé une campagne de plaidoyer. Cela m’a permis aussi de m’intégrer dans le monde de l’ESS.

En 2023, j’ai rejoint Cliss XXI car la question des logiciels libres m’intéressait. Les associations ne sont pas forcément sensibilisées là-dessus alors que les utiliser devrait être cohérent avec leurs valeurs. Leur projet coopératif me parlait également. Elle a été la première SCIC à se créer en région et elle fonctionne de manière horizontale. J’occupe le poste de commerciale et j’assure les relations avec les usagers et les partenaires. Je représente notre coopérative dans le réseau des SCIC du Pas-de-Calais.

Comment es-tu arrivée à l’Apes ?
Valentin Auzanneau qui allait partir était administrateur de l’Apes pour Cliss XXI, j’ai donc repris ses fonctions.
Je connaissais l’Apes quand je travaillais à Oxfam. Faire partie de cette tête de réseau est pour nous naturel. C’est important que Cliss XXI, qui a une posture assez radicale, y ait sa place aussi.

Qu’est-ce que l’Apes pour toi ?
C’est l’occasion de rencontrer d’autres organisations de l’ESS avec lesquelles on n’est pas forcément en contact, qui œuvrent dans d’autres domaines d’activités.
J’ai participé à différents groupes de travail, comme celui sur l’implication des usagers. Cela permet de sortir du quotidien et de réfléchir à ce qu’on fait

Maï Lohier